Il y a 13 ans, j’ai commencé une nouvelle aventure entrepreneuriale avec la ferme volonté de développer un conseil sincère et indépendant, conforme à mes convictions intimes. Les circonstances ont donné raison à ma démarche. Plus que jamais, dans un monde où tous les ancrages cèdent, où le débat intellectuel est affaibli, où les croyances sont à la fois multiples et où pourtant nous ne croyons collectivement plus en rien, seul le retour au réel et à l’authenticité pourront réunir. L’indépendance d’esprit et la sincérité sont devenues, à ce titre, deux concepts absolument fondamentaux.

 

  • Bona fidé, c’est une affirmation de l’importance de la sincérité dans le discours que portent les parties prenantes dans le débat public. Dans une société où tout est vérifiable, où l’émotion guide trop souvent l’action et où la séduction et la dissimulation l’emportent sur la conviction, prenons le contre-pied, ayons le courage de la bonne foi et de l’authenticité !

 

  • Bona fidé, c’est assumer une vision positive d’un métier qui est souvent décrié. Les affaires publiques n’ont pas toujours bonne presse. A travers ce nom, nous voulons rappeler que l’influence peut être positive, lorsqu’elle n’est pas un autosatisfecit et qu’elle participe à la construction du débat public. C’est le sens de notre signature : Bona fidé, la bonne influence. Nos clients nous choisissent aussi pour notre sens de l’intérêt général et notre volonté de le défendre.

 

  • Bona fidé, c’est enfin un clin d’œil à un film, « Go west », où j’ai entendu pour la première fois cette expression américaine, et où la bonne foi est caricaturée par les frères Marx, mais qui raconte en creux toute la valeur de cette expression.

 

En plaçant au cœur de notre approche l’ancrage dans le réel, le décryptage des faits, l’identification des signaux faibles et la force des idées collectives, nous aidons nos clients à dessiner une voie, celle de la bonne foi !